«Ce matin-là, je reçus une lettre d’un genre nouveau.»
Mon avis :
C’est par cette petite phrase au dos du livre que ma curiosité a été éveillée.
Je n’avais encore jamais lu Amélie Nothomb. Ce que j’avais pu découvrir d’elle sur Internet me paraissait assez étrange, presque décalé.
Et pourtant, ce roman m’a plu.
Il raconte une correspondance entre Amélie Nothomb et Melvin Mapple, un soldat américain de deuxième classe affecté à Bagdad.
Pour survivre à la guerre, celui-ci se gave de nourriture jusqu’à devenir obèse.
Cette graisse, il la personnifie, lui donne même un nom : Shéhérazade.
À travers elle, il invente une nouvelle forme d’art, une façon de se réapproprier son corps, et il s’en dit heureux.
S’il écrit à l’autrice, c’est parce qu’il a lu tous ses livres et pense qu’elle seule pourrait comprendre sa démarche. Mais très vite, on se rend compte que Mapple ment, ou plutôt qu’il s’invente une vie par besoin d’exister autrement.
Au fil de ces lettres, on découvre aussi Amélie Nothomb elle-même. Elle confie qu’elle répond à tous ses lecteurs, mais explique combien certains lui demandent l’impossible : absorber leurs malheurs. Elle aime les missives courtes, mais celles qui s’étalent sur quatre pages l’agacent.
J’ai bien aimé ce livre, même si la fin m’a un peu déroutée.
Une conclusion en queue de poisson, à laquelle je ne m’attendais pas.
En tout cas, cette lecture m’a donné envie de découvrir d’autres romans d’Amélie Nothomb.
Si vous avez des titres à me conseiller, je suis preneuse !
Ce n’est vraiment pas son meilleur, Je l’ai lu dernièrement, j’ai été déçue. Si tu veux en lire d’autres je peux te conseiller Hygiène de l’assassin et Stupeur et Tremblements, qui moi font partie des meilleurs!
J’ai bien aimer même si c’est pas le meilleur^^, je note les titres que tu ma donné et je verrai pour les acheter.
Merci de ton passage.
Le dernier est assez sympa même s’il se lit vite, trop vite
Il se nomme comment son dernier? moi je n’ai lue que celui-ci pour le moment.