Si j’étais un monarque : rêverie d’un royaume idéal

Salle du trône de château médiéval

L’autre nuit, j’ai fait un drôle de rêve.
Je portais une couronne. Une vraie, lourde et dorée.

Et j’étais assise sur un trône, au cœur d’un château aux grandes fenêtres ouvertes sur la vallée.

Je me suis alors demandé…

Déjà, je partagerais les ressources avec celles et ceux qui y vivent.
L’abondance n’a de sens que si elle circule.

Je rendrais visite à mes gens, souvent. Pas pour des apparitions solennelles, non… pour des discussions simples, autour d’un thé ou dans les champs.

Je voudrais savoir comment ils vont. Ce dont ils ont besoin. Ce qu’ils rêvent, eux aussi.

Mon château serait beau, certes mais vivant.
Avec de grandes écuries, des chevaux bien nourris, et des chiens qui courent partout. Un potager aussi, et une bibliothèque.

Illustration d’une jeune reine souriante dans un château rose, début d’une rêverie royale

Je limiterais les taxes. On peut construire un royaume solide sans pressurer les siens.
Et je veillerais à la propreté des rues. Pas par obsession de l’ordre, mais parce que c’est plus agréable pour tout le monde de vivre dans un lieu respecté.

Dans ce royaume-là, il y aurait du travail pour toutes les mains.
Des écoles pour les enfants, des moyens pour les parents, du temps pour vivre.

La paix régnerait. L’écoute aussi.
Et peut-être, qui sait… un peu de magie.

Une monarque pieds nus

Oui. J’aimerais être une monarque comme ça.
Juste, joyeuse, les pieds nus sous ma couronne.

Illustration d’une jeune reine souriante dans un château rose, tirée de l’article "Si j’étais un monarque : rêverie d’un royaume idéal".
Citation "Dans mon royaume, la magie serait simple : un sourire, une tasse de thé, un peu de lumière." sur fond sombre.
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