Depuis l’enfance, Iris a une passion pour la couture. Dessiner des modèles, leur donner vie par la magie du fil et de l’aiguille, voilà ce qui la rend heureuse. Mais ses parents n’ont toujours vu dans ses ambitions qu’un caprice : les chiffons, ce n’est pas « convenable ». Et Iris, la mort dans l’âme, s’est résignée.
Aujourd’hui, la jeune femme étouffe dans son carcan de province, son mari la délaisse, sa vie semble s’être arrêtée. Mais une révélation va pousser Iris à reprendre en main son destin. Dans le tourbillon de Paris, elle va courir le risque de s’ouvrir au monde et faire la rencontre de Marthe, égérie et mentor, troublante et autoritaire…
Portrait d’une femme en quête de son identité, ce roman nous entraîne dans une aventure diabolique dont, comme son héroïne, le lecteur a du mal à se libérer.
Mon avis :
Depuis son enfance, Iris nourrit une passion pour la couture.
Concevoir des modèles et leur donner vie grâce à l’aiguille et au fil, c’est ce qui la rend heureuse. (moi qui suis nullissime en couture, j’admire les personnes qui savent en faire).
Mais ses parents ont toujours minimisé ses aspirations, considérant la couture comme un simple caprice : « Les chiffons, ce n’est pas un métier convenable. » 😑
Résignée, Iris a accepté et a mis ses rêves de côté.
Aujourd’hui, la jeune femme se sent prisonnière de sa vie provinciale.
Mais une révélation va lui donner envie de reprendre le contrôle de son destin.
À Paris, elle va se confronter au monde et faire la rencontre de Marthe, une femme aussi charismatique qu’autoritaire, qui deviendra son mentor, ainsi que de Gabriel, un homme séduisant qui ne la laissera pas indifférente.
Cependant, étant mariée, Iris se refuse à envisager quoi que ce soit avec lui.
Son mari, médecin à l’hôpital, est souvent absent, ce qui accentue les tensions dans leur couple. Mais Iris va progressivement gagner en confiance, non seulement en elle-même mais aussi en son art.
D’une femme vivant dans une existence monotone, elle parvient à s’épanouir en réalisant son rêve et à transformer sa vie.
J’ai dévoré ce livre d’une traite, j’ai passé un très bon moment.
